Palais des Atréides sur Arrakis

Protégeant son peuple et ses réserves d'épices, l'avant-garde des défenses d'Arrakeen se compose de puissants Las-Canons montés sur des tours de plascrete capables de déchiqueter des vaisseaux d'attaque.

Sur un promontoire rocheux à l'extérieur du Mur du Bouclier, se dressant à plus d'une centaine de mètres du sol, deux tourelles de lasgun avec leurs canons orientés vers le ciel tempétueux sont prêtes à faire feu sur toute menace approchant de la ville d'Arrakeen.

Cette imposante base Harkonnen a été conçue pour intimider les visiteurs de passage, avec ses imposants visages brillants et menaçants, sculptés dans la roche. La base est équipée de plateformes d'ornithoptères à son sommet et de deux immenses las-canons capables de couper un vaisseau en deux.

Construites par les scientifiques impériaux des milliers d'années avant la découverte de l'épice, les stations de recherches botaniques maintenant abandonnées accueillent des expériences peu orthodoxes, portant tantôt sur la manipulation génétique, tantôt sur les efforts menés pour terraformer Arrakis.

L'espoir oublié d'un peuple ancien sommeille au coeur de ces stations souterraines, en attendant d'être réveillé.

Un immense vaisseau long-courrier Heighliner plane lourdement dans le ciel nocturne, rappelant la demande infinie d'épices.

Le fracas des batailles ne doit pas faire oublier les vrais prédateurs du désert, les Vers des sables.

Après une escarmouche avec des bandits, vous posez votre ornithopter endommagé dans un canyon isolé. La chaleur monte alors que vous vérifiez le niveau d'eau de votre distille. Trouver la cache à épices en valait la peine... si vous survivez au voyage de retour.

Bien que les ornithoptères écrasés ne soient pas rares dans les tréfonds du désert, les pilleurs ont néanmoins besoin d'être rapides et chanceux pour espérer les dépecer pour récupérer les pièces utilisables, avant que d'autres n'arrivent ou que l'appareil soit entièrement enseveli sous les sables mouvants.

À la recherche d'un bref refuge dans l'ombre d'un immense surplomb de roches volcaniques, un prospecteur d'épices solitaire remarque l'arrivée de vaisseaux de transport, tout juste visibles quand ils se détachent du soleil de fin d'après-midi et grâce aux nuages denses de poussière.

Le chemin qu'on pense être le plus sûr n'est pas toujours celui qu'on croit, au risque d'être rapidement enseveli.