Voici quelques mots sur l'équipe qui est derrière The Chronicles of Spellborn.
Arrivé à 11h à la gare de La Haye, j'ai abusé de la gentillesse des agents de sécurité présents un peu partout pour trouver le tram à emprunter. A l'intérieur du tram, j'ai agressé deux voyageurs pour qu'ils m'indiquent à quelle station descendre.
Arrivé devant la maison abritant le studio de développement, ils furent tous vengés : un agent de police m'est tombé dessus pour savoir pourquoi je prenais des photos. Je lui ai expliqué que c'était pour le bien de la communauté francophone des fans de The Chronicles of Spellborn, mais cela n'a pas semblé l'impressionner.
Au moment où je me voyais déjà locataire d'une cellule grise et froide, il m'a dit que je pouvais y aller avec un regard qui m'indiquait que si je traversais en dehors des clous je le regretterai.
Après avoir bravé tous ces dangers pour vous, je suis donc entré dans les locaux de Spellborn. Pour me faire oublier ces péripéties, j'ai été accueilli par une hôtesse absolument charmante. La journée commençait bien, finalement !
Spellborn est hébergé dans les locaux de son investisseur principal (si je ne me trompe pas). Néanmoins, l'équipe atteint les 37 personnes et il va bientôt falloir pousser les murs.
La majorité de l'équipe travaille au sous-sol. Afin qu'ils ne se laissent pas distraire par des considérations aussi peu importante que le fait de rentrer chez soi, le sous-sol est équipé de deux consoles de jeu, d'une cuisine et d'un siège de massage. Avec tout ça, nul doute que les horaires doivent être extensibles.
L'équipe comprend plusieurs nationalités. On y trouve bien sûr des Hollandais, mais aussi des Belges, des Anglais, des Américains et des Français (si j'ai oublié des nationalités, j'en suis désolé). L'équipe va continuer à se renforcer, notamment d'un responsable de la communauté francophone, sauf erreur de ma part.
J'ai rencontré tout le monde et, après avoir longuement discuté avec Barry Hoffman, j'ai volé le PC de Corwynn pour tester longuement le jeu dans sa version alpha. Espérons qu'il ne m'en a pas tenu rigueur.
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