Materiel.net s'invite au Hellfest avec ses configurations « Gaming in Hell »

Le Hellfest, festival bien connu de « musiques extrêmes », avec ses enceintes monumentales, sa débauche de basses et de décibels, ses cohortes de métalleux adeptes du headbanging... et son stand de pc gaming survitaminés. Depuis six ans maintenant, Materiel.net est présent chaque année à Clisson en Loire-Atlantique, dans le Hellcity du festival de l’enfer, avec un corner dédié aux PC de jeu. La marque y expose généralement des exemples de configurations customisées un peu folles (notamment des wall mods à base de watercooling, rétro-éclairage et composants RGB), invite les festivaliers à dégommer du démon dans des jeux infernaux entre deux concerts (comme par exemple Diablo IV l’année dernière), et y présente surtout une sélection de machines aux configurations tantôt très optimisées, tantôt franchement costaudes, dont les boîtiers exclusifs affichent les couleurs « Gaming in Hell » du Hellfest.

Cette année encore, Materiel.net réitère l’expérience pour le Hellfest 2024, du 27 au 30 juin prochains, et présente sur son stand de nouvelles machines prémontées subtilement baptisées d’après le petit nom des scènes mythiques du festival – Valley, Temple ou Warzone.

Des PC gaming « Gaming in Hell »

Si ces configurations sont toutes taillées pour le jeu, elles s’adressent à des profils de joueurs différents – depuis le Hellfest Valley qui repose sur une configuration évolutive et optimisée pour jouer en 1080p dans un budget contenu (à partir de 1 169,95€) et jusqu’au Hellfest Warzone, monstre de puissance pour jouer aux derniers titres AAA en 4K – pour la modique somme de 3 359€.

Le détail des configurations et des composants est disponible sur le site de Materiel.net. Pour se faire une idée, on retiendra néanmoins que le Hellfest Valley (qui fait ici figure d’entrée de gamme) repose sur un processeur Intel Core i5 14400F, 16 Go de RAM DDR4 (extensible à 128 Go), une capacité de stockage de 1To avec un SSD Kingston NV2 NVMe, et le tout complété tout de même par une solide carte graphique AMD Radeon RX 7600 XT embarquant 16 Go de VRAM.

En montant de gamme, le Hellfest Temple et le Hellfest Warzone permettront l’un et l’autre de jouer (très) confortablement à la plupart des titres récents. Les deux configurations embarquent 32 Go de RAM DDR5 à 5600 MHz (extensible à 192 Go) et une capacité de stockage de 2To en SSD (avec un WD Black SN770 GEN4 NVMe pour le Temple, et un Samsung 980 Pro NVMe GEN4 pour le Warzone). La différence de puissance entre les deux machines se joue au niveau du processeur (un Intel Core i7 14700KF pour le Temple et Intel Core i9 14900KF pour le Warzone) et des cartes graphiques : une GeForce RTX 4070 SUPER avec 12 Go de VRAM pour le Temple et une GeForce RTX 4080 SUPER pour le Warzone. La première affiche des performances impressionnantes pour le jeu en 1440p avec un bon rapport qualité / prix, la seconde permettra de jouer en 4K confortablement, et dans les deux cas, on pourra profiter du DLSS 3 et du raytracing.

Assemblage Materiel.net et boîtiers Be Quiet!

Les tarifs sont significatifs mais Materiel.net ne lésine pas sur les composants. Les configurations sont également proposées avec ou sans l’installation de Windows : les geeks avertis peuvent ainsi installer l’OS de leur choix et économiser quelques dizaines d’euros ; les autres pourront bénéficier de machines directement prêtes à l’emploi, assemblées et testées dans les ateliers nantais de la marque – pour mémoire, Materiel.net n’est pas qu’un vendeur de matériel informatique ou de pc portable gamer, c’est aussi (et surtout ?) un assembleur. 

À noter aussi que les différentes configurations Hellfest de Materiel.net reposent sur des boîtiers Be Quiet!. Outre leur esthétique Gaming in Hell et le fait qu’ils sont conçus pour être silencieux (des plaques de mousse dans le boîtier étouffent le bruit des composants), ils revendiquent aussi une ventilation efficace et des alimentations fiables – conformes à la norme ATX 3.0 de sorte de pouvoir absorber les pics de charge que peuvent exiger les cartes graphiques puissantes, par ailleurs alimentées en direct sans adaptateur ou connecteur qui pourraient fondre. Ce n’est sans doute pas un détail à négliger dans le cadre de configurations imposantes qui embarquent des cartes graphiques monstrueuses, susceptibles de chauffer. Le Warzone repose par exemple sur un Ventirad Dark Rock Elite, un boîtier Shadow Base 800 DX et une alimentation Dark Power 13. 

Avis donc aux amateurs de musiques extrêmes et de configurations de l’enfer, en quête de machines plutôt solides, performantes et évolutives – en plus d’être aux couleurs du Hellfest.

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