Le shooter post-apocalyptique Survarium continue d'être ponctuellement mis à jour et ouvre un nouveau terrain d'affrontements, la station radar soviétique de Duga, que l'Occident surnommait le « Pic-vert russe » pendant la Guerre froide.
On connait le principe du shooter Survarium : orchestrer des affrontements entre joueurs dans un monde librement inspiré de l’ex-Union Soviétique (notamment aux abords de Tchernobyl), et surtout ponctué « d’anomalies », des événements dangereux pouvant survenir à tout moyen pour pimenter des combats – des arcs électriques, des fuites radioactives, voire pires.
Survarium est jouable depuis avril 2015 dans le cadre d’un accès anticipé, et est toujours ponctuellement mis à jour. L’équipe de développement sur studio Vostok Games vient ainsi de déployer une nouvelle carte, baptisée Duga Radar Station et qui s’impose comme la plus grande du jeu à ce jour.
Elle s’inspire de la station radar Duga (bien réelle), surnommée le « Pic-vert russe » en raison des signaux radioélectriques frénétiques qu’elle envoyait à intervalles réguliers dans l’optique d’une veille lointaine des anti-missiles balistiques.
Dans l’univers de jeu, la carte compte de nombreuses installations permettant des embuscades, mais est aussi parcourue par des anomalies électriques qui ont vocation à gagner en intensité dans les prochains patchs du jeu.
Pour mémoire, Survarium est distribué en free-to-play sur Steam. La mise à jour peut également être téléchargée gratuitement. Le jeu fait par ailleurs actuellement l’objet d’animations pour les fêtes de fin d'année, octroyant divers bonus aux joueurs qui s’y investissent.
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