Les petits Suisses s'envoient en l'air dans Airheart

Mais qu'est-ce que c'est que Airheart ? Officiellement, d'après les développeurs, c'est un jeu bien à part. Limite, il a même son monde rien qu'à lui. C'est un "jeu d’action rogue-like dieselpunk". Si vous ne saviez pas comme nous ce qu'était le dieselpunk, et bien, voilà, vous vous coucherez moins bêtes : là où le steampunk est inspiré par la période de la révolution industrielle du 19ème (marquée par la progression de l'industrie grâce notamment à l'utilisation de la machine à vapeur), le dieselpunk est lui plus inspiré par l'entre-deux guerres, où l'industrie a encore progressé grâce aux premières utilisations des dérivés du pétrole. Voilà, le cours d'histoire est terminé.

Ca parle de quoi, ce jeu, sinon ?

Le jeu vous propose d'incarner Amelia, une demoiselle qui vole sur un engin volant plus ou moins identifié, qui parcourt les cieux à la recherche de poissons volants au milieu des nuages, allant de port en port dans des îles flottantes qui parsèment les cieux. Pourquoi fait-elle ça ? Ca doit être l'arrière-arrière-arrière petite fille du capitaine Achab, puisque son rêve est d'aller au delà des nuages et d’atteindre la stratosphère pour essayer d’attraper la légendaire « Skywhale », une prise légendaire qui vaudra à celui qui l'attrapera richesse et célébrité pour l’éternité.

Mais que fait Sea Shepherd ?

Et bien, dans les cieux aussi, les pirates sont présents et cherchent à mettre des bâtons dans les roues des vilains pêcheurs. Sauf que là, les pirates sont vraiment méchants et les pêcheurs plutôt gentils, même s'ils rêvent tous d'attraper une grosse baleine. Il faudra donc qu'Amelia se faufile entre les pirates et les zones sécurisées pour espérer atteindre la pêche miraculeuse, améliorant son vaisseau au fil des prises et des visites dans de nouveaux ports...

Pour en savoir plus, n'hésitez pas à vous rendre sur la page Greenlight du jeu !