Un PvP ouvert et sans zones sécurisées dans Black Gold Online

On attend Black Gold Online en bêta occidentale dans les prochaines semaines, au « cours du premier trimestre 2014 ». D'ici là, le studio Snail Games esquisse quelques-uns des grands principes de gameplay du MMO fantasy / steampunk dans le cadre d'échanges ponctuels de questions / réponses avec les (futurs) joueurs.
Et le développeur aborde aujourd'hui, entre autre, les mécaniques gouvernant les affrontements entre joueurs dans le MMO. Et elles s'avèrent simples : l'univers de jeu est totalement dévolu au PvP, intra et hors-faction, sans zones sûres.

Comment fonctionne le PvP « open world » de Black Gold Online ?
Chaque région de Montel [l'univers de jeu] est une région contestée, ce qui signifie qu'il n'y a pas de zones sécurisées dans Black Gold Online. Vous pouvez vous associer avec d'autres joueurs et lancer des raids sur les villes et cités de la faction adverse [pour mémoire, le jeu s'articule notamment sur la confrontation opposant l'Union d'Erlandir, la faction fantasy du MMO ; au Royaume d'Isenhorst, la faction steampunk].
Il y a aussi un système de PvP au sein d'une même faction. Cette fonctionnalité peut être aisément activée ou désactivée, vous permettant d'attaquer n'importe quels joueurs dans la totalité du monde ouvert de BGO.

Le développeur évoque tout autant les unités géantes du MMO. On sait que les joueurs pourront prendre le contrôle d'engins ou créatures de taille colossale (des Goliath et Behemoth) aux capacités dévastatrices sur les champs de batailles. Selon Snail Games, si ses créatures sont aussi puissantes qu'imposantes, elles sont loin d'être invulnérables pour ceux qui les affronteront à pied.
D'abord, elles devront être contrôlées simultanément par deux joueurs de haut niveau parfaitement coordonnés. Ensuite, elles restent sensibles à un feu nourri ennemi et le développeur assure que le jeu est suffisamment équilibré pour qu'aucune unité ne soit indestructible. Encore faudra-t-il se donner les moyens d'arrêter ces colosses.